L'évolution de l'emploi dans l'immobilier
Les personnes qui sont attirées par une carrière dans le secteur immobilier profitent d’une conjoncture favorable. Ainsi, la société de gestion Cytia Immobilier a recruté dernièrement 50 négociateurs. Les professionnels de la gestion de biens sont les plus nombreux parmi les personnes qui travaillent dans ce secteur. En 2015, ils étaient près de 750 000.
La situation actuelle de l’immobilier
Par ailleurs, les jeunes collaborateurs performants peuvent profiter d’une rapide évolution salariale. Une personne ayant suivi cinq ans d’études après le bac peut espérer un salaire brut annuel dépassant 30 000 €.
Enfin, une personne expérimentée peut se reconvertir vers un métier de l’immobilier après avoir suivi une formation spécialisée.
Les profils recherchés
Les professionnels de l’immobilier recherchent notamment des négociateurs capables de faire aboutir une transaction en persuadant l’acquéreur et le vendeur de l’intérêt de l’opération. Le négociateur peut avoir le statut de salarié ou d’agent commercial indépendant. Dans ce cas, il est rémunéré à la commission. Le site conseiller immobilier contient des informations complémentaires.
D’autre part, les candidats ayant des formations juridiques peuvent s’orienter vers des fonctions exigeant des compétences pointues telles que la gestion de biens.
Les qualités recherchées chez les candidats
Les recruteurs tiennent compte des diplômes, mais ils sont particulièrement attentifs à la personnalité des candidats et notamment à leur rigueur ainsi qu’à leur capacité de persuasion. Ils attendent également des candidats des qualités d’initiative, de la ténacité ainsi que de la diplomatie.
En effet, une personne chargée de gérer des biens mis en location peut devoir traiter des conflits entre les bailleurs et les locataires. Elle doit donc être capable de rechercher des solutions satisfaisantes pour les deux parties.
La sélection
Les candidats s’orientent davantage vers l’immobilier compte tenu du fait que ce secteur se porte bien, contrairement à d’autres. Ils doivent donc faire face à une concurrence plus forte et à une plus grande sélectivité des écoles spécialisées.